¤µ£ |4 ~£2£ ~4(#1n£ §017 {1£r£, 81||
0µ £§7 81||?
Nous avons donc renvoyé nos anciens mécènes
et accepté d'écouter les Gaïens amènes
Nous en verrons bien assez tôt les résultats
qu'ils donnent l'essor ou la ruine à Confluxia
Notre influence grandit dans cette région
Autant que se répand notre réputation
de cité franche, tenant à sa neutralité
au point d'accueillir en elle l'abhumanité
Aujourd'hui, de la palissade on voit venir
les fameux Gaïens qui désirent établir
en ambassade un batiment de leur facture
tout à la fois temple et marchande devanture
Pendant qu'Harmony calme les esprits troublés
par l'arrivée des Gaïens ennemis du Vrai
je découvre, m'attendant à mon atelier
un homme observant le public d'un air suspect
A mon approche, il range son numénéra
et balafre son visage d'un sourire de fat
il se déclare Viktor de la Convergence
et être venu avec une offre d'alliance
il me détaille entre les murs de mon atelier
comment les siens comptent des notres profiter
Il propose une façade pour leurs méfaits
contre les miettes que nous pourront récupérer
pour nous donner un aperçu des avantages
il me localise un site dans le Riage
que la Convergence a laissé pour le moment
et que nous pouvons fouiller dès à présent
il repart de mon atelier sans garantie
et je rejoins la place où la foule a appris
la nouvelle indépendance de Confluxia
ainsi que l'arrivée d'un convoi de Gaïa
Son discours endort leur justifiée méfiance
les ramenant à une précaire indolence
sour l'ombre des Gaiens aux remparts parvenus
où l'Arkus accourt leur souhaiter la bienvenue
leur représentant énonce leur volonté
d'un temple dédié à leurs esprits ériger
assurant par là un contact entre culture
mais avant tout à la leur une devanture
sitôt obtenue la permission de construire
le géant Gaïen fit de la terre jaillir
Un arbre qui, s'évidant et s'épaississant
devint de Confluxia le plus haut batiment
Les siens vinrent à une vitesse météorique
En emplir les salles de machines ésotériques
Son oeuvre vite achevée, l'abhumain nous quitte
Aux soin des marchands Gaiens restés sur le site
Il est temps de voir ce que vaut la convergence
par ce qui doit acheter notre complaisance
Nous louons un niaçalis au prix habituel
de la cession d'une découverte éventuelle
au plateau des coordonnées se trouve le dôme
avec les débris tournoyant tel un cyclone
Yangus et son armure se placent en protection
le temps que l'abri du dome, nous atteignons
nous avançons dans les couloirs pourpres intérieurs
accompagnés d'une fort utile lueur
jaillissant des murs pour révéler Victor
qui voulait nous doubler et n'a trouvé que la mort
son bourreau prend à Arun 6 années de vie
Yangus réplique en le changeant en débris
A moi son arme et sa cervelle artificielle
je ferais bien meilleur usage de ces merveilles
nous découvrons au fil de notre progression
des installations à l'usage impénétrable
des apparitions aux paroles indéchiffrables
fantômes d'un temps plus propice à l'agitation
la plus surprenante est la vision d'un Yadon
bien vivant bien que visiblement affolé
parce qui à ce moment avait pu briser
les parois de ces ruines que nous explorons
au fond du gouffre par l'effondrement formé
Arun trouve une plaque, un bouclier cassé
duquel je récupère l'alimentation
dont je vois immédiatement l'utilité
la nouvelle salle me fait déchanter
elle est vide à l'exception de deux cavités
l'une ostentant la forme allongée d'un bâton
et l'autre me nargue avec celle d'un bouclier
je me plie à ce caprice du destin
et reconstitue donc cette moitié de clé
car ce mur traitre est visiblement scindé
et ouvrable par un mécanisme caché
les parts coulissent à l'insertion des objets
révélant une cellule dissimulée
chargée à rabord de trésors accumulés
par les gens de cet endroit d'un passé lointain
Nous quittons cette salle rassasiés de fortune
mais l'avidité nous convainc de pénétrer
dans une salle avec au fond un coffre fermé
et au plafond des mécaniques arachnides
dès notre intrusion, elles se jettent sur Arun
ses ésotéries échouent à les repousser
comme leur morsures qui le laissent gravement blessé
Alors que Yangus et moi sommes arachnicides
échaudés, nous quittons la millénaire ruine
après un dysfonctionnement de ses machines
qui nous apporte un homme à la face cristalline
voulant connaitre notre avis sur sa combine
cet inconnu est parti comme il est venu
nous laissant parvenir à notre rendez vous
sans une inquiétude sur cette histoire de fous
qui fit que nous partîmes avant d'être venus
et accepté d'écouter les Gaïens amènes
Nous en verrons bien assez tôt les résultats
qu'ils donnent l'essor ou la ruine à Confluxia
Notre influence grandit dans cette région
Autant que se répand notre réputation
de cité franche, tenant à sa neutralité
au point d'accueillir en elle l'abhumanité
Aujourd'hui, de la palissade on voit venir
les fameux Gaïens qui désirent établir
en ambassade un batiment de leur facture
tout à la fois temple et marchande devanture
Pendant qu'Harmony calme les esprits troublés
par l'arrivée des Gaïens ennemis du Vrai
je découvre, m'attendant à mon atelier
un homme observant le public d'un air suspect
A mon approche, il range son numénéra
et balafre son visage d'un sourire de fat
il se déclare Viktor de la Convergence
et être venu avec une offre d'alliance
il me détaille entre les murs de mon atelier
comment les siens comptent des notres profiter
Il propose une façade pour leurs méfaits
contre les miettes que nous pourront récupérer
pour nous donner un aperçu des avantages
il me localise un site dans le Riage
que la Convergence a laissé pour le moment
et que nous pouvons fouiller dès à présent
il repart de mon atelier sans garantie
et je rejoins la place où la foule a appris
la nouvelle indépendance de Confluxia
ainsi que l'arrivée d'un convoi de Gaïa
Son discours endort leur justifiée méfiance
les ramenant à une précaire indolence
sour l'ombre des Gaiens aux remparts parvenus
où l'Arkus accourt leur souhaiter la bienvenue
leur représentant énonce leur volonté
d'un temple dédié à leurs esprits ériger
assurant par là un contact entre culture
mais avant tout à la leur une devanture
sitôt obtenue la permission de construire
le géant Gaïen fit de la terre jaillir
Un arbre qui, s'évidant et s'épaississant
devint de Confluxia le plus haut batiment
Les siens vinrent à une vitesse météorique
En emplir les salles de machines ésotériques
Son oeuvre vite achevée, l'abhumain nous quitte
Aux soin des marchands Gaiens restés sur le site
Il est temps de voir ce que vaut la convergence
par ce qui doit acheter notre complaisance
Nous louons un niaçalis au prix habituel
de la cession d'une découverte éventuelle
au plateau des coordonnées se trouve le dôme
avec les débris tournoyant tel un cyclone
Yangus et son armure se placent en protection
le temps que l'abri du dome, nous atteignons
nous avançons dans les couloirs pourpres intérieurs
accompagnés d'une fort utile lueur
jaillissant des murs pour révéler Victor
qui voulait nous doubler et n'a trouvé que la mort
son bourreau prend à Arun 6 années de vie
Yangus réplique en le changeant en débris
A moi son arme et sa cervelle artificielle
je ferais bien meilleur usage de ces merveilles
nous découvrons au fil de notre progression
des installations à l'usage impénétrable
des apparitions aux paroles indéchiffrables
fantômes d'un temps plus propice à l'agitation
la plus surprenante est la vision d'un Yadon
bien vivant bien que visiblement affolé
parce qui à ce moment avait pu briser
les parois de ces ruines que nous explorons
au fond du gouffre par l'effondrement formé
Arun trouve une plaque, un bouclier cassé
duquel je récupère l'alimentation
dont je vois immédiatement l'utilité
la nouvelle salle me fait déchanter
elle est vide à l'exception de deux cavités
l'une ostentant la forme allongée d'un bâton
et l'autre me nargue avec celle d'un bouclier
je me plie à ce caprice du destin
et reconstitue donc cette moitié de clé
car ce mur traitre est visiblement scindé
et ouvrable par un mécanisme caché
les parts coulissent à l'insertion des objets
révélant une cellule dissimulée
chargée à rabord de trésors accumulés
par les gens de cet endroit d'un passé lointain
Nous quittons cette salle rassasiés de fortune
mais l'avidité nous convainc de pénétrer
dans une salle avec au fond un coffre fermé
et au plafond des mécaniques arachnides
dès notre intrusion, elles se jettent sur Arun
ses ésotéries échouent à les repousser
comme leur morsures qui le laissent gravement blessé
Alors que Yangus et moi sommes arachnicides
échaudés, nous quittons la millénaire ruine
après un dysfonctionnement de ses machines
qui nous apporte un homme à la face cristalline
voulant connaitre notre avis sur sa combine
cet inconnu est parti comme il est venu
nous laissant parvenir à notre rendez vous
sans une inquiétude sur cette histoire de fous
qui fit que nous partîmes avant d'être venus
Commentaire